C’est l’heure de votre shot de radicalité poétique. Gare à la Syncopée, notre revue littéraire aux ambitions démesurées qui massacre la syntaxe et les fans de classicisme à coups de pelle. Déjà condamnés par l’Académie française, nous refusons la stagnation de la langue. Poètaires de tous les pays, unissez-vous !
Tous les deux mois, nous viendrons bousculer vos synapses, réguliers comme une montre suisse un peu déréglée.
L’avant-garde meurt mais ne se rend pas, alors du rythme que diable ! La vie seule valant quelque chose, notre revue veut l’explorer par l’absurde, l’authenticité et l’expérimentation. Oubliez les sonnets, enterrez les alexandrins loin dans les forêts et laissez donc agoniser Les Fleurs du mal. On a dit ra-di-ca-li-té / radis de qualité / Radis de ka ka ka lire T / rat dit car lys taire / RAS ras ras ras ras raspuuutiiiiiiin alité.
Une Syncopée sur deux, nous alternerons la publication du portfolio d’un artiste visuel ou d’un mini-recueil dans une section distincte.
Pour y figurer, première info kapitale : nous acceptons les pots-de-vin, mais si vous préférez faire confiance à votre talent, envoyez-nous vos textes (un par personne ; si vous êtes mineur.e.s, faut demander aux parents) ainsi que votre nom d’auteur.ice et votre réseau social de prédilection à lasyncopee@gmail.com.
Les thèmes de chaque revue seront sélectionnés aléatoirement par ordinateur à partir du précédent numéro.
Serius est quam cogitas.
Pouet. Poètes. Pouet…
La Syncopée 